fbpx

7 Exemples honteux des camps de concentration créés pour les Noirs

Rate this post

Les camps de concentration de l‘après-guerre civile aux États-Unis


Après la guerre civile (et même pendant), des millions de Noirs libres furent acheminés dans des camps de concentration près de bases militaires de l’Union où les conditions de détention étaient insalubres et où la nourriture était limitée. Beaucoup succombèrent des privation de nourriture, et autres moyens. Les plus célèbre de ces cas eurent lieu à Natchez dans le Mississippi. Ce camp de la mort fut créé après que des Noirs libre fuirent vers Natchez après avoir été libéré.

«Lorsque les esclaves furent libérés des plantations pendant l’occupation, ils envahirent Natchez», déclara le chercheur Paula Westbrook. «Il y en eut environ entre 10 000 à 120 000 durant une nuit.»

Là, des dizaines de milliers de Noirs libre furent soumis à des conditions horribles qui conduisirent à leur mort. Au bout du compte, environ 20.000 noirs hommes, femmes et enfants furent tués.


Camps de concentration aborigènes


Comme moyen pour “exterminer” la population autochtone, l’Australie adopta l’Aborigines Protection Act (Loi sur la protection des Aborigènes, NDLR) de 1909. En vertu de cette loi, les premiers camps de concentration australiens furent établis. Le Dr. Gary Foley, un activiste, universitaire, écrivain et acteur australien aborigène de l’ethnie Gumbaynggirr, affirma que cette foi fut établie “sur l’hypothèse que ce qui restait de la population autochtone ne voulait pas mourir“.


Les camps de travail pour Noirs durant de la guerre anglo-boer


Alors que les deux principales forces dans la guerre anglo-boer étaient blanches, les Noirs connurent le plus des pertes au cours de cette guerre. Pas moins de 15 000 Noirs furent utilisés comme combattants et non-combattants par les Britanniques. À la suite de la “politique de la terre brûlée” des britanniques, de nombreux Noirs qui vivaient dans des fermes blanches furent déportés dans des camps de concentration. En outre, les civils déportés et capturés furent arrêtés par les forces britanniques et conduis dans des «camps de réfugiés», qui est devinrent rapidement des camps de concentration. Les Britanniques emprisonnèrent les Noirs dans les camps, pour les faire travailler, pour cultiver des denrées alimentaires pour les troupes, pour creuser des tranchées, pour devenir conducteurs de chariots, pour travailler comme mineurs une fois que les mines d’or redevinrent opérationnelles, selon sa history.org.za.



Le génocide Herero et Namaqua et le camp de Shark Island


Après que les peuples Herero et Namaqua se rebellèrent contre l’impérialisme allemand dans le Sud-Ouest africain, ou l’actuelle Namibie, les impérialistes allemands placèrent des milliers de Namibiens dans des camps de concentration. Le pire de ces camps fut celui de Shark Island ou l’île de la mort, au large des côtes de Lüderitz, en Namibie. Ceux qui furent envoyés sur Shark Island le furent uniquement pour mourir. Ceci est considéré par de nombreux historiens comme le premier génocide du 20ème siècle. Entre 1904 et 1908, 100 000 Herero et 10.000 Nama  perdirent la vie.



Le Camp de Tarrafal au Cap-Vert


Le Camp de Tarrafal, aussi connu comme le “Camp de la mort lente” fut initialement développé comme un moyen de punir les communistes, anarchistes, anti-colonialistes, libéraux et autres opposants du régime d’Antonio de Oliveira Salazar. Pourtant, dans les années 1970, il rouvrit ses portes pour emprisonner les dirigeants africains qui combattaient les Portugais pour obtenir leur indépendance. Le camp fut le moyen par lequel le Portugais intensifièrent l’oppression contre les captifs africains. Bon nombre des techniques utilisées pour torturer les captifs africains furent inspirés par les nazis, ainsi que par les pratiques oppressives de l’esclavage.


Les Mau Mau et camps de concentration au Kenya


La rébéllion Mau Mau fut une réponse au colonialisme britannique. Entre 1954 et 1960, la révolte des Mau-Mau permit de renforcer l’indépendance du Kenya. Elle fut une grande tragédie pour ceux qui y furent impliqués. Durant six ans, les colons britanniques organisèrent les camps de punir suspects Mau Mau. À ce jour, la Grande-Bretagne a peu fait pour confesser son crime au Kenya, y compris les décès de l’infame camps de détention de Hola dans lesquelles “les détenus (…) furent matraqués à mort par des gardiens de prison pour avoir refusé de travailler“, selon un article publié par The Telegraph.


Les Noirs durant l’Holocauste allemand


Un article publié par le Holocaust Memorial Museum aux États-Unis confirme que “le sort des Noirs entre 1933 et 1945 en Allemagne nazi et dans les territoires occupés par l’Allemagne allait de l’isolement à la persécution, la stérilisation, l’expérimentation médicale, l’incarcération, la brutalité et l’assassinat.” De ce fait, ils se trouvèrent souvent dans des camps de concentration. En effet, les Afro-américains furent également “capturés par les nazis et furent internés dans des camps de concentration“, selon un article publié par NewsOne.


Source : http://atlantablackstar.com/
Traduction #TeamOjal

Laisser un commentaire